Conformément aux directives de la CNIL, pour poursuivre votre navigation dans de bonnes conditions vous devez accepter l'utilisation de Cookies sur notre site.
Aucun produit
Bonne résolution, excellents contrastes, qualité d’impression constante, robuste, économique, rapide, connectable…
Différentes technologies s’opposent ou se complètent pour répondre aux besoins d’identification d’une entreprise. Informez vous et sélectionnez la technologie qui convient à votre entreprise en répondant à vos impératifs de production.
Si la qualité d’impression est un paramètre important lors d’impression de code à barres, de bons résultats sont obtenus en sélectionnant un support en adéquation avec le ou les environnements que rencontreront vos produits ou documents au cours de leur vie.
Le principe de fonctionnement des imprimantes matricielles repose sur de petites aiguilles qui viennent frapper un cylindre sur lequel est placé le support d’impression (étiquette).L’encrage est assuré par un ruban positionné entre les aiguilles et le document.
Le ruban encreur est déroulé à plusieurs reprises et doit être remplacé lorsque la densité d’encre est insuffisante.
Les imprimantes à jet d’encre réalisent l’impression par projection d’une encre liquide sur le document.
Le point d’impression minimum manque de précision car la goutte d’encre arrive à grande vitesse sur le support d’impression pour s’éclater en de minuscules petites gouttelettes réparties autour du point principal.
La netteté du tracé est de ce fait réduite et peut limiter la décodabilité du code à barres.
L’impression sur imprimante laser est réalisée avec une grande précision. L’encre solide presque réduite à l’état de poussière est attirée sur un block photorécepteur sensibilisé par le rayon laser.
L’encre est alors déposée sur le support d’impression puis passée dans un four afin d’être fixée.
L’imprimante laser est à même de répondre à de faible besoin d’étiquetage.
Le principe d’impression supposé économique se transforme en véritable gouffre financier dès lorsqu’il s’agisse d’imprimer des code à barres nécessitant une quantité d’encre importante (4 à 5 fois plus que l’impression d’un texte de 1000 caractères).
Les imprimantes thermiques fonctionnent à partir d’un support traité qui noircit par réaction chimique sous l’effet de la chaleur. Le support passe sous la tête thermique de l’imprimante qui est composé de « points chauffants ».
L’imprimante à transfert thermique fonctionne sur le même principe que l’imprimante thermique hormis le fait que l'on utilise dans ce cas un support non traité et du film thermique.
Le film thermique passe entre la tête thermique et le support à imprimer, la tête d’impression thermique va permettre de transférer l’encre du ruban sur le support.
Les imprimantes à transfert thermique mettent en œuvre une mécanique plus complexe liée à la présence du ruban encreur.
Le changement de consommable est plus long puisqu’on utilise une bobine d’étiquettes et une bobine de ruban thermique.
Pour une même qualité, les étiquettes thermiques sont nettement plus chères que les étiquettes standard non traitées, il faut cependant ajouter le prix du ruban pour la technologie à transfert.
Le prix de revient de l’impression thermique directe (étiquette thermique) et l’impression transfert thermique (étiquette + ruban) est donc, financièrement parlant, quasiment équivalent. Ceci étant, il existe des supports standards non traités qui permettent une très bonne tenue en température, aux solvants, aux frottements et donne l'avantage au transfert thermique. De même, l'impression sur matières particulières (synthétiques), impose en règle générale la technologie à transfert thermique.
Il existe sur le marché une large gamme de choix pour ce qui est de l’imprimante industrielle à transfert thermique. Une des caractéristiques essentielles est la largeur d’impression, chacune des largeurs répondant à un type d’application bien précis. Nous avons aujourd’hui globalement trois largeurs de tête d’impression :
D’autres caractéristiques telles que la vitesse d’impression, la résolution d’impression, la capacité mémoire, les options possibles... mais aussi la robustesse influent sur le choix du matériel et déterminent le prix de l’imprimante.
La vitesse d’impression est exprimée en mm/s. Les systèmes d’impressions actuels ont des vitesses variant entre 50 mm/s et 300 mm/s en moyenne.
ATTENTION : Noter que la qualité de l’impression dépend pour beaucoup de la vitesse d’impression. Une qualité de support et d’encre adéquate est indispensable pour obtenir de bonne qualité d’impression à haute vitesse !
Pour résumer : imprimer à de grandes vitesses suppose l’utilisation de consommables adaptés, souvent plus coûteux.
La qualité d’impression dépend de plusieurs paramètres, entre autres, de la qualité du support, du type de ruban associé au support mais aussi des réglages de l’imprimante.
Choisissez bien le couple support ruban ou demandez nous conseil pour obtenir un résultat qui correspond à vos besoins. En effet, la qualité du support ainsi que les contraintes auxquelles doit répondre l’impression (en terme de durée de vie et résistance à diverses agressions) déterminent généralement de la qualité du ruban à utiliser.
Nettoyez-le fréquemment de façon à vous assurer qu’aucun dépôt ne minimise l’appui de la tête sur le support.
Les réglages comme le parallélisme de la tête, des embrayages des rouleaux, mais aussi la chauffe appliquée à la tête sont des paramètres qui permettent de résoudre ces problèmes.
En effet, si la température est trop faible, l’impression sera trop claire et les codes à barres illisibles, par contre, si la température est trop élevée, l’impression aura tendance à baver et les codes à barres seront illisibles !
L’impression des codes à barres ont une particularité liée à leurs barres parallèles continues. Si celles-ci se trouvent orientées parallèlement au sens d'impression, la chauffe est continue et donc plus nette, contrairement à l'impression dite "en échelle", perpendiculairement au sens de déroulement, ou la chauffe est discontinue.
La résolution de l’impression s’exprime généralement en dpi (dots per inch) ou encore en points/mm.
La résolution la plus courante est 203 dpi ou 8 points par mm. Il existe également du 300dpi (12 points/mm) et depuis peu du 600 dpi (24 points par mm).
Les têtes de résolution inférieures à 203 dpi par exemple 152 dpi tendant à disparaître.
Une tête d’impression 203 dpi de 110 mm de large est donc constituée d’une ligne 8*110 = 880 points chauffants.
Plus la résolution de la tête est grande, c’est-à-dire, plus il y a de points chauffants par mm, plus on pourra imprimer des petits caractères de bonne qualité, des petits codes à barres ou codes 2D.
La différence est également visible sur les logos ou autres graphiques pixellisés à faible résolution.
La capacité et le type de mémoire dépendent des modèles d'imprimante, elle détermine la longueur maximale d'impression.La capacité mémoire peut devenir une contrainte dès que l'impression est composée de nombreux logos. En effet ils occupent une place importante dans le poids du fichier transmis.
La mémoire utilisable des imprimantes à transfert thermique est répartie en deux zones :
C'est l'espace mémoire qui est utilisé lorsqu'on imprime une étiquette.
Cet espace appelé aussi mémoire vive est composé de mémoire RAM.
Cette mémoire perd toutes ses informations après un arrêt de la machine. Elle est utilisée pour composer l’image de votre étiquette point par point (BITMAP)
C'est un espace qui permet de stocker des informations permanentes (conservées après arrêt de la machine), telles qu'une police particulière ou un logo fréquemment utilisé, et ainsi éviter la transmission de cette information à chaque impression.
Ce support d'information se présente sous la forme de mémoire flash interne, de module mémoire externe ou encore de carte PCMCIA.
La plupart des imprimantes disposent de nombreux accessoires optionnels parmi lesquels :
Des questions ou suggestions, contactez nous !
Nous suivre